En douce…

la poste

« Franca on m’a réveillé cette nuit minuit pour m’apporter ton télégramme. Je ne sais qui bénir, les Postes, ou l’Hôtel, pour cette imagination prodigieuse – tu m’as rejoint dans le sommeil ; dans un sommeil plein de toi. » (Louis Althusser, lettre à Franca Madonia, 1961)

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