Archive pour la catégorie ‘Non classé’

Free Queens, à la Série Noire le 30 mars 2023

Mardi 31 janvier 2023

Free Queens Marin Ledun

Gallimard, collection Série Noire, 30 mars 2023

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Sélection Grand Prix de Littérature Policière 2023

Sélection Grand Prix Sang d’Encre 2023

Sélection Prix des lycéens de la ville de Vienne 2023

Sélection Prix du Polar de Villeneuve-lez-Avignon 2023

Sélection Prix Libr’à nous Polar 2024

Sélection Prix Livradois Noir 2024

Sélection Prix des lecteurs - Quais du Polar 2024

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Bouleversée par le témoignage d’une prostituée nigériane, la journaliste Serena Monnier se rend à Lagos pour enquêter. Guidée par les militantes de Free Queens, une ONG qui lutte pour le droits des femmes, Serena prend vite la mesure effarante des réseaux criminels qui prospèrent grâce à la prostitution. Pire, des multinationales en font, au vu et au su de tous, une arme commerciale particulièrement efficace.
Leur âme au diable dénonçait les pratiques amorales des fabricants de tabac. Free Queens poursuit dans la même veine en s’intéressant à un industriel de la bière qui vend le corps des femmes pour mieux écouler ses produits. Mais cette fois, au cynisme capitaliste et à la corruption politique, Marin Ledun oppose l’incroyable courage de femmes unies pour défendre leurs droits et prêtes à tout pour se faire respecter.

Leur âme au diable, à la Série Noire le 4 mars 2021..

Vendredi 15 janvier 2021

Leur âme au diable Marin Ledun Série Noire Gallimard

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Prix Polar en Séries / Quais du Polar 2021

Prix Roman ACT - Maurice Tubiana 2021

Sélection 2021 Prix Marianne / Un aller retour dans le Noir

Sélection 2021 Grand Prix de Littérature Policière

Sélection 2021 Prix du Polar de Villeneuve-lez-Avignon

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En trente ans, l’industrie et la marque ont proliféré partout, à une vitesse chaque jour plus folle, colonisant la moindre parcelle de terre, d’eau, d’air et d’humanité. Il y aurait tellement à dire sur ce processus que mille récits ne suffiraient pas à en évoquer toutes les facettes. Voici donc une fiction sur la guerre que mènent depuis des décennies les lobbies du tabac pour étendre leur empire et leurs modes de pensée, effleurant ou percutant de plein fouet des dizaines de millions de vies dans le monde. Ne pouvant les raconter toutes, j’en ai saisies neuf pour leur donner chair et raconter notre époque à travers elles. Quant au style, il est à hauteur d’hommes : violent comme leurs actes, criminel comme leurs méthodes, amer comme l’ivresse de leur pouvoir…

L’histoire commence le 28 juillet 1986 par le braquage, au Havre, de deux camions-citernes remplis d’ammoniac liquide destiné à une usine de cigarettes. 24 000 litres envolés, sept cadavres, une jeune femme disparue.
Les OPJ Nora et Brun enquêtent. Vingt ans durant, des usines serbes aux travées de l’Assemblée nationale, des circuits mafieux italiens aux cabinets de consulting parisiens, ils vont traquer ceux dont le métier est de corrompre, manipuler, contourner les obstacles au fonctionnement de la machine à cash des cigarettiers. David Bartels, lobbyiste mégalomane qui intrigue pour amener politiques et hauts-fonctionnaires à servir les intérêts de European G. Tobacco. Anton Muller, son homme de main, exécuteur des basses œuvres. Sophie Calder, proxénète à la tête d’une société d’évènementiel sportif.
Ambition, corruption, violence. Sur la route de la nicotine, la guerre sera totale.

La vie en rose, à la Série Noire, le 2 mai :

Samedi 27 avril 2019

La vie en rose Marin Ledun Gallimard Série Noire

Gallimard, coll. Série Noire, mai 2019

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Ses parents partis parcourir la Polynésie, Rose – qui s’est installée avec le lieutenant Personne – se retrouve seule pour s’occuper de ses frères et sœurs. Coup sur coup, elle est confrontée au cambriolage de Popul’Hair, le salon de coiffure où elle fait la lecture, à la découverte inopinée de sa grossesse et au meurtre de l’ex petit ami de sa sœur. Bientôt, c’est le meilleur ami de Camille que Rose découvre poignardé. Entre deux nausées, deux crises existentielles et en marge de l’enquête parallèle qu’elle mène, Rose doit encore s’occuper du suivi scolaire de sa sœur, des peines de cœur de son frère aîné, des plaintes du directeur de l’hôpital où travaille Pacôme qui organise des strip-pokers au service gériatrie, de lire Sacher-Masoch aux clientes de Vanessa la coiffeuse. Pendant ce temps, l’assassin continue de s’en prendre aux jeunes gens du lycée où Camille est scolarisée. Un matin, alors qu’elle est censée passer chercher une amie pour préparer une marche de soutien à la dernière victime, Camille disparaît.

Aucune bête - en librairie le 28 février 2019

Vendredi 18 janvier 2019

Aucune bête Marin Ledun

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Vera, coureuse de 24 heures non-stop, se souvient de sa dernière compétition, de sa rhinopharyngite et du médoc qu’elle avait pris, et qui contenait de l’éphédrine.
Condamnée pour dopage, elle a dû ronger son frein hors du circuit pendant huit ans. Aujourd’hui, elle revient et sa rivale est toujours l’Espagnole Michèle Colnago. Mais cette année, Michèle a décidé de profiter de l’épreuve pour se débarrasser de la pression masculine. Une course à bout de souffle, oppressante, dont l’issue ne se joue pas forcément entre les athlètes.

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Editions In8, collection “Polaroïd” - 28 février 2019

Salut à toi ô mon frère - en librairie le 3 mai

Mercredi 4 avril 2018

Salut à toi ô mon frère Marin Ledun Gallimard Série Noire

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« Un père, une mère et leurs six enfants. Deux filles, quatre garçons. Une équipe mixte de volley-ball et deux remplaçants, ma famille au grand complet. Neuf en comptant le chien. Onze si l’on ajoute les deux chats. »

La grouillante et fantasque tribu Mabille-Pons : Charles clerc de notaire pacifiste, Adélaïde infirmière anarchiste et excentrique. Les enfants libres et grands, trois adoptés. Le quotidien comme la bourrasque d’une fantaisie bien peu militaire.
Jusqu’à ce 20 mars 2017, premier jour du printemps, où le petit dernier manque à l’appel. Gus, l’incurable gentil, le bouc émissaire professionnel a disparu et se retrouve accusé du braquage d’un bureau de tabac, mettant Tournon en émoi.
Branle-bas de combat de la smala ! Il faut faire grappe, retrouver Gus, fourbir les armes des faibles, défaire le racisme ordinaire de la petite ville bien mal pensante, lutter pour le droit au désordre, mobiliser pour l’innocenter, lui ô notre frère.

Ils ont voulu nous civiliser…

Lundi 14 août 2017

Paru chez Flammarion, le 11 octobre 2017 :

Ils ont voulu nous civiliser marin ledun flammarion

4eme-de-couverture-ils-ont-voulu-nous-civiliser

L’homme qui a vu l’homme (J’ai Lu)

Jeudi 11 décembre 2014

Paru le 14 janvier 2015 aux éditions J’ai Lu.

L'homme qui a vu l'homme J'ai Lu

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Pays basque nord, Janvier 2009. La tempête Klaus vient de s’abattre sur la façade atlantique. Les rumeurs autour de la disparition d’un militant basque, Jokin Sasco, enflent. Iban Urtiz, reporter, comprend que cette affaire n’est pas un cas isolé. La jeune Eztia, soeur du disparu, lui ouvre les portes d’un monde de mensonges et de trahisons où enlèvements, tortures et séquestrations sont devenus les armes de l’ombre. Tandis que deux tueurs tentent d’étouffer la vérité, la vie d’Iban bascule dans une guerre sans pitié qui ne dit pas son nom.

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« Un roman remarquable. » (Macha Séry, Le Monde)

« Aussi sec, rythmé et addictif qu’une bonne série. » (Sabrina Champenois, Libération)

« Une perle. » (Michel Dufranne, RTBF)

« Marin Ledun garde un rythme vif et ne perd jamais son lecteur dans cette histoire qui se place toujours du côté des victimes. » (Michel Abescat, Télérama)

« Il v a un style Marin Ledun. » (Sébastien Lapaque, Le Figaro Littéraire)

« Un polar parfait, où chaque pion avance vers un drame inéluctable. » (Christophe Laurent, Nice Matin)

« Tout simplement immanquable ! » (Didier Coviaux, Librairie Le comptoir des mots)

« Ce roman moderne, rythme ct clair, nous enlace dans un noeud de vipères où, de l’Etat français aux paramilitaires espagnols en passant par des militants peu scrupuleux, chacun joue sa propre partition, loin de la vérité. Bluffant » (Jérôme Carron, Points de vue)

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La vie marchandise - sortie le 6 février 2013

Lundi 11 février 2013

Du berceau à la retraite, le marketing veille sur vous.

La vie marchandise Ledun Floris

Editions La Tengo - 6 février 2013.
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De Paris à New York, de Tokyo à Sydney : partout les mêmes marques, les mêmes modes, les mêmes fast-foods ou les mêmes hypermarchés. Toujours plus de produits, avec une durée de vie toujours moindre. Luxe, hard-discount, low-cost, tout le monde doit pouvoir participer à la grande braderie. Et se croire toujours gagnant ! Le client est roi, non ?

Depuis une cinquantaine d’années, le marketing, bras armé des firmes multinationales, s’est constitué en véritable machine à fabriquer des consommateurs en série. Il a organisé l’invasion de nos vies par les marchandises. Individualisation, uniformisation, insatisfaction, gaspillage, dépolitisation et destruction écologique sont les conséquences de ce tout-marketing.

Dans ce livre manifeste contre la tyrannie du marketing, Bernard Floris et Marin Ledun déconstruisent les techniques d’une industrie planétaire qui exploite nos pulsions et manipule nos désirs depuis notre plus jeune âge. Ils racontent ici l’histoire et les coulisses de cette fabrique qui nous conduit, malgré nous et avec notre consentement, à adopter la culture de la consommation et le mode de vie « marchandisé ». Mais sommes-nous réellement des marchandises ?

Bernard Floris est maître de conférences à l’université Stendhal Grenoble 3. Marin Ledun est romancier.

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A paraître le 21 février

Vendredi 4 janvier 2013

No More Natalie

Editions In8, collection Polaroïd - 21 février 2013.

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28 novembre 1981. Le yacht de l’acteur Robert Wagner s’élance dans la baie de Los Angeles. Natalie Wood, sa femme, est à bord, ainsi que la belle gueule de Christopher Walken, et une cargaison illicite - dix kilos de cocaïne et 250.000 dollars en liquide - que Wagner devra rendre, bien entendu. Mais rien n’est simple à Hollywood et la trahison rôde.
Marin Ledun revient sur la noyade d’une icône, révélant sous son vrai jour la faune du cinéma des seventies. Frelatée, décadente et vendue. Les acteurs doivent rester des acteurs et les truands des truands, surtout dans la vraie vie où l’on ne meurt qu’une fois.

Samedi 28 juillet 2012

rois écarlates

« Elle n’était pas aveugle. Elle ne manquait ni d’intelligence, ni d’intuition ; au contraire, elle avait saisi l’essence du monde et de son fonctionnement avec une finesse aiguë, féroce. Mais c’était un monde obscur, habité par le mal et la souffrance. Elle savait qu’il existait un autre monde, plus éclatant – dans lequel des êtres avaient le chance de pouvoir consacrer leurs forces à créer quelque chose dont la beauté les dépassait – mais ce monde-là ne lui était pas plus familier que les pays lointains et les mers étincelantes de n’importe quel atlas. Elle n’irait jamais, et elle n’y était jamais allée ; ou plutôt, elle y était allée, mais dans un passé si lointain qu’il était comme un paysage perdu, un souvenir flou, et inaccessible en dépit de tous ses efforts pour y retourner. » – Tim Willocks, Les rois écarlates (Bloodstained Kings), 1995